Interview donnée au média SandSab en Mars 2024.
Naissance le 28 Décembre 1965, Charlevilles-Mézières. Capricorne Ascendant Scorpion avec Uranus conjoint à Pluton, mon maître Ascendant.
Mars, autre maître Ascendant est en Verseau conjoint à Vénus. Conjonction Mars-Vénus sous la maîtrise d’Uranus. Dominante Uranienne. Mon ciel est né sous une boucle entre la conjonction Mars-Vénus en Verseau et la conjonction Uranus-Pluton, le tout sous l'opposition générationnelle Uranus-Pluton - Saturne. Noeud Nord en Gémeaux cuspide de VIII. Soleil en cuspide de III.
Lune Poisson trigone à ma cuspide d'Ascendant Scorpion. Mercure en Sagittaire trigone au MC Lion. Mercure très dissonant opposé Jupiter et au double carré Saturne-Uranus-Pluton
Le lieu où j’ai grandi et un épisode dans mon enfance ne furent pas étrangers à mon métier. Plusieurs circonstances poussent à étudier l’astrologie, une conférence peut éveiller la curiosité et susciter le désir d’apprendre cette discipline. On peut y venir pour comprendre certaines expériences, à travers son prisme, la verbalisation de l’expérience aide à prendre du recul, et probablement apaise l’esprit.
Ma rencontre avec l’astrologie fut différente. Mon parcours astrologique tient d’un événement survenu dans mon enfance qui bouleversa ma vie, eut raison de ma scolarité et de ma trajectoire professionnelle.
Je peux dire que j’ai mûri en accéléré, loin d’une enfance standard. Lorsque l’on me demande comment j’ai démarré l’astrologie, ces événements jaillissent dans ma mémoire car , sans eux, je ne serai pas devenue astrologue, j’aurai suivi un cursus scolaire classique, mais la vie en a voulu autrement.
J’ai longtemps pensé qu’il était inutile d’en parler car il s’agit de lever le voile sur le domaine de la santé, sujet délicat. Pourtant, tardivement dans ma vie, j’ai compris que cet événement était inhérent à mon parcours, alors j’ai décidé de le rendre public. Par ailleurs, il apporte un témoignage d’espoir pour ceux, qui comme moi, auront connu des épisodes similaires de santé et qui, depuis des années sont épanouis dans leurs activités.
Fin Juin 1978, quelques secondes suffirent à installer le terreau de ma philosophie de vie.
En regardant en arrière, rien ne se me prédestinait à devenir astrologue professionnelle et encore moins à enseigner l’astrologie car je n’eu aucun environnement astrologique, ni une influence extérieure, avec pour unique professeur : la vie.
Néanmoins, mon père avec son amour des étoiles eut une influence certaine dans les années 1977 et 1978 sur ma soif de découverte du ciel. L’astronomie m’attirait dans ces années-là, mais au fond comme tous les enfants.
J’ai grandi dans les Ardennes, puis dans le Sud à la campagne dans un environnement de potagers, où l’on cultivait les légumes au rythme des Lunaisons. C’était très agréable. Enfant, mon père me montrait régulièrement la voûte céleste disant combien nous étions petits face à l’immensité de l’univers. Devant cette vision, je ressentais une boulimie de découvertes. L’année de mes 8 ans ma mère décéda. Son départ me tira de l’insouciance de l’enfance et me confronta tôt aux questions de la vie et la mort. La vie continua, convaincue d’embrasser un métier artistique -je voulais travailler dans la publicité ou évoluer dans une branche artistique, mais un imprévu changea l’ordre des choses.
L’été 1978 un événement soudain décida de mon orientation scolaire. A 12 ans et 6 mois, début Juin 1978 la maladie me foudroya et déstabilisa ma famille. L’épilepsie fit irruption, demandant prudence et surveillance, sans pour autant me délivrer un traitement car il fallut attendre d’autres crises pour confirmer la maladie. L’épilepsie non jugulée, décida de frapper fort dans la soirée du 29 Juin 1978 et me fit vivre une expérience qui allait bouleverser ma jeune vie pour toujours.
A un mois d’intervalle l’une de l’autre, l’une de mes crises me fit vivre une impression réelle de sortie partielle de corps et de me tenir debout, reconstituée à l’identique, à côté de mon corps devenu à moitié vide.
Ce fut une expérience indélébile qui changea à l’instant même et à jamais ma conception du mot «vivre» et mon regard tout simplement sur l'existence. Au moment même de cette crise, vécue en pleine conscience, montèrent automatiquement des questions sur les capacités du corps physique, celles du cerveau et les questions relatives à la vie et à la mort.
En pleine conscience et sous un temps qui me parut long, je fus habitée par de multiples sensations successives et simultanées, qui n’existent pas dans la vie normale.
Il me fut impossible d’estimer le temps car j’étais privée de tout repère mais de l’intérieur, ce fut interminable. Avant que je ne perde enfin connaissance, tout fut gravé en moi. Le résumé de mon récit semble long car il retrace la crise vécue de l’intérieur.
Ce furent des étapes composées de longs moments baignés d’une multitude d’émotions. J’ai vécu en pleine conscience l’arrivée puis la montée de la crise, de l’aura épiléptique aux étapes successives. Dans ce bref laps de temps pour ma famille, je fus traversée de subtiles sensations, issues de mélanges d’impressions et d’émotions, avec une rupture de mes repères spatio-temporels et la perte de ma propre identité.
De l’intérieur, j’existais en étant paradoxalement moi-même vacuité, en vivant seulement à travers un point de conscience. Certaines sensations et émotions restent indescriptibles pour la simple raison qu’elles sont un mélange de sensations avec des dimensions.
Je connu la sensation simultanée de n’avoir aucun passé, ni de perception de corps physique, ni de me souvenir depuis quand j'occupais ce corps qui m'était étranger, de repère d’espace temps et de l’époque, j'étais neutralisée de l'intérieur, comme verrouillée de l'intérieur mais totalement consciente. Tout avait disparu avec un sensation supérieure à toutes, la sensation éperdue « d’avoir déjà-vécu » et de contempler le lieu où je me trouvais, un lieu inconnu.
L’étape de ma sortie partielle de mon corps avec la perception de mon corps physique sur le coté, fut moins violente dans sa manifestation, elle fut plus insidieuse car je ne l’ai pas vécu au moment où elle se produisit. La sensation d’avoir déjà vécu fut foudroyante tel un rayonnement intérieur instantané dans tout mon être. Une sensation pure et explosive.
Ces deux moments furent époustouflants d’évidence car ils s’accompagnaient d’une dimension supérieures dans les émotions.
Cette crise n’eut rien à avoir avec les précédentes, elle fut la rencontre avec une énergie, une porte ouverrte à une transformation. La crise d’épilepsie que je connus et ce qu'elle a déclenché comme désordre dans mon cerveau et dans mon organisme ce soir-là, a changé à jamais ma conception de la vie à l’instant même. Elle a soudainement fait basculer l’ordre des priorités et me laissa en héritage un état d’esprit précocement ouvert sur les capacités du cerveau et du corps, mais aussi les questions de la vie après la mort. Elle fit dérailler ma scolarité en cours.
Cet épisode m’a donné une grande sensibilité à la beauté de la vie, aux êtres et au simple bonheur de vivre. En raison de son caractère hors norme et traumatisant pour mon jeune âge à l’époque, cette expérience inclassable reste au-dessus de tous les événements de ma vie, quoi qu’il m’attende dans le futur. Cet événement semble gravé, non pas dans ma mémoire, mais dans ma conscience.
Au moment même de cette crise, le regard que je portais sur le monde changea et je mis des années avant de m’en remettre sans craindre qu’une crise analogue ne vienne interrompre pour de bon ma jeune vie. Je mis aussi du temps à en parler car il fallait trouver les mots appropriés et les sensations étaient si extraordinaires qu’il était impossible de trouver les mots adaptés, à part résumer cette longue expérience en une impression de sortir d’une coquille vide et d’être bien vivant sans son corps physique.
Ce résumé est bien réducteur, car en réalité c’était en étapes et très long. Un choc à 12 ans. Progressivement, je commença rapidement à en parler à mes plus proches en me rendant compte que mon récit était long car l’expérience vécue depuis l’intérieur l’était. Pourtant ma famille et les voisins qui assistèrent à la scène décrivèrent que je commença à me figer environ une minute avant de chuter au sol dans un cri et commencer à convulser. Vécu de l’intérieur ce n’est pas du tout une minute mais un moment figé dans une sensation d'éternité. La notion du temps était toute relative, tout dépendait de quel côté on se trouvait.
Il y a plusieurs types d’épilepsie. J’avais connu des crises partielles avec chute et coma épileptique, des absences ou des impressions en effet d’être séparée de son corps mais c’était juste des impressions. La grande crise de Juin 1978 n’avait strictement rien à voir avec les précédentes. Je n’ai jamais eu de réponse sur ce qui m’a provoqué cela, si c’était les zones de mon cerveau qui m’ont fait vivre ce moment ou si j’étais en réalité en train de mourir. Le neurologue nous parla du lope temporal puis du cortex cérébral entier, les deux hémisphères touchés pour la grande crise.
Après cette grande crise d’épilepsie générale qui perturba mon adolescence, entre le traitement et la maladie, je vivais avec une perte de mémoire immédiate, des difficultés de concentration, des absences, des désorientations spatio-temporelles de nuit comme de jour.
1978 fut la pire année de ma vie car la scolarité se jouait sans moi.
Ma vie scolaire dérailla avec une impression de sortie de route. Ce virage fut si puissant que je fus par terre au sens propre comme au figuré.
Du jour au lendemain, ma perspective de suivre des études s’assombrit et le verdict médical du neurologue l’était tout autant. J’entendais parler de mon cortex cérébral, de mon épilepsie du lobe temporal et d'une batterie de consignes au quotidien pour vivre avec cette maladie. J’ignorais à mon âge que l’on pouvait avoir une maladie dans le cerveau. Mon quotidien était bardé d’interdictions afin de pas solliciter une nouvelle crise.
Le neurologue proposa de m’opérer du cerveau ou de me donner un traitement de longue durée avec des conséquences sur l’assiduité en classe, retentissant sur mes facultés de mémorisation. Mon père pris une décision déterminante et refusa à l’époque que l’on m’opère le cerveau, à la place un traitement très long fut installé, un traitement aux effets secondaires. Ce que je crus n’être que des paroles par le neurologue s’avéra juste. Entre le traitement lourd et les séquelles sur mes facultés de mémorisation, mes absences, je décrocha immédiatement au collège tandis que mes camarades continuaient d’évoluer.
L’activité cérébrale de mon cerveau était pas bonne en quelque sorte, mes examens chez le neurologue confirmaient l’épilepsie généralisée.
L’été 1978 fut un black-out et présida au début de ma vie d’astrologue en herbe qui s’amorça l’été 1979. Entre ces longs mois, il manque une partie du film de ma vie.
Il faut comprendre que la soudaineté de l’épilepsie revient à vivre avec une épée de Damoclès au-dessus de sa tête. D’une seconde à l’autre, on peut être foudroyé par une crise, une réalité qui modifia le rapport à la vie et me donna la valeur de l’instant présent. La puissance de la crise m'avait paralysée de l'intérieur immédiatement avec une puissance d'énergie. Je me mis à dévorer la vie et l’instant présent. Je savais que je pourrais être saisie d’une nouvelle crise et ce que j’avais vécu me terrifiait. J’avais peur de mourir pendant une crise aussi forte, alors je vécu avec un sentiment d’urgence, comme si le temps m'était compté. Plus rien ne fut comme avant
Au moment où s’est jouée cette crise extrême, j’étais lucide et dès mon réveil je fus assaillie de questions existentielles pas vraiment en accord avec mon âge civil.
Dans les mois qui suivirent, ma disposition d’esprit et surtout ma conception de la vie avait changé, je n’avais que 13 ans mais les questions métaphysiques, la question de la vie et la mort, le potentiel de notre cerveau, ces questions sérieuses avaient surgi. En quelques mois, je mûris en accéléré et me sentie différente, en décalage de mes camarades. J’avais vécu quelque chose qu’ils n’avaient – heureusement – pas vécu et à partir de ce moment, le sentiment de décalage fut sans fin.
J’étais très réceptive et ressentait clairement l’énergie des gens ou des endroits. Cette maladie m’avait transformée à tous les niveaux, bien sûr en me donnant la rage de me battre pour surmonter mon problème de mémoire mais la maladie m’avait laissée une sorte d’héritage, une perception aiguisée.
Mon parcours astrologique pris naissance dans ces conditions particulières de cette épreuve dont nous nous serions bien passé, ma famille et moi-même. Au terme de deux annnées de traitement, l’inverse du pronostic médical se produisit, ma mémoire sembla élastique, elle reprenait bien grâce à la complexité du mécanisme astrologique, je me rendis compte que je stockais bien ce que je voyais, entendais et surtout les données astrologiques. Je me rendis compte que l’astrologie avait la particularité d’être l’unique matière qui restait fixée dans ma mémoire, alors l’astrologie rééduqua mois après mois, années après années, mes facultés de mémorisation et de concentration.
Ma mémoire revenait en force et elle était visuelle, cela me facilitait l'assimilation des informations astrologiques. Lorsque je repris vraiment de la force au bout de deux à trois ans, nous étions en 1981 et 1982 et l’astrologie avait envahi mes jours et mes nuits, tandis que j’étais toujours au Lycée. J’amenais dans ce lycée les affaires d’astrologie en classe, avec les autres matières et calculait les thèmes de mes camarades de classe. L'astrologie me semblait une découverte fabuleuse, mais dont je ne savais que faire.
Les professeurs me reprochaient de dissiper les élèves avec mon astrologie. Je découvris très tôt combien l’astrologie divisait des clans et plus de trente-cinq ans après, rien n’a changé, l’astrologie continue de susciter des réactions de vive curiosité ou de railleries. Je compris au lycée que cette discipline ne laisserait jamais indifférent. C’était comme utiliser un langage qui allait attirer ou irriter bien du monde sur mon chemin.
Le déroulement de la vie fut conforme à cette perspective de vie que je voyais se profiler à l’horizon pendant mes heures de classe.
Avec le recul, à l’époque du Lycée, je peux dire que j’eue une vision de ma vie comme dans un livre ouvert. L’astrologie était là et elle semblait me coller à la peau, je savais au plus profond de mon être qu’elle n’allait plus quitter ma route mais si jeune.
Mon traitement fut efficace et enfin je commencais à voir le bout du tunnel mais pour la scolarité, il était trop tard. Les dés étaient jetés, j’avais perdu deux ans de ma vie scolaire. Entre temps, l’astrologie s’était engouffrée dans mon mental et je commençais à raisonner avec le mécanisme astrologique.
L’épilepsie générale avait bel et bien changé ma route. Un jour de 1982 j’eu un rêve éveillé en plein cours. En observant ma professeur de sténo devant nous, je me vis à sa place, enseigner l’astrologie à une classe. Je l’ignorai mais l’astrologie allait devenir mon métier et ce rêve éveillé devint ma réalité 23 ans plus tard quand je me mis à enseigner l’astrologie en 2005. Je quitta le lycée en 1984 à 18 ans ayant pleinement conscience que la vie avait déjà distribué les cartes !
L’astrologie me permis de reconstruire mes facultés de mémorisation et ne quitta jamais ma route depuis l’été 1979, année de ma renaissance.
L’épilepsie a complètement disparue de ma vie dans la seconde partie de mon adolescence en me laissant un sentiment de sursis, de bonus de vie dont je dois profiter en donnant le meilleur, cette expérience inclassable m’a laissée une trace indélébile dans mon âme. Elle m’ a transformée et donné un amour de la vie.
Il m’arrive de m’interroger en me demandant quel métier j’aurais fait si l’épilepsie n’avait pas fait dérailler ma scolarité. Quelles études aurais-je suivies ?
Avais-je seulement une autre route ?
De l’épilepsie à l’astrologie, c’est mon parcours professionnel, celui que le destin a choisi pour moi et ma famille.
Cette expérience indélébile m’a donnée un cadeau inestimable, la mesure des choses et intimé au plus profond de moi sur l’aspect précieux d’un instant, d’une minute et sur le fait que nous ne sommes que de passage.
Mon métier touche le cœur de l’humain. L’astrologie est un outil intelligent permettant de vous connaître et de découvrir les autres sous un autre angle en allant au-delà des apparences.
Aujourd’hui , je vis d’astrologie entre mon écriture dans des magazines spécialisés ou grand public, les consultations et l’enseignement astrologique que je dispense depuis maintenant 10 ans.
L’enrichissement laissé par de telles expériences précoces est certain. Nul doute, cela a forgé mon tempérament et donné des sensibilités à certaines causes. Je suis naturellement sensible à la cause des enfants épileptiques, comprenant bien les dégâts collatéraux susceptibles de troubler leur scolarité et leur sentiment de différence engendré par cette maladie,et je suis aussi sensible à la cause des non-voyants.
En 2002, je me suis investie pour les non-voyants en créant des cours d’initiation en braille, sous la forme d’un livre et d’une carte du ciel thermogonflée. J’ai fait appel aux techniques spécialisés de l’AVH, Association Valentin Hauy, à des fours chauffants donnant aux thèmes des dimensions, permettant une relation tactile avec l’astrologie.
Cette expérience demandant 2 ans de travail au contact de non-voyants, m’a permis de voir combien nous étions en retard en France. L’astrologie est une discipline «visuelle» or, le public non- voyant est pénalisé. Comment voulez-vous comprendre l’astrologie si vous n’arrivez pas à visualiser un thème ?
Apprendre l’astrologie par le sens du toucher est pour cette population, un moyen d’avoir aussi accès à l’astrologie. En 2015 la loi pour l’accessibilité arrive enfin. On va alors adapter des loisirs en braille et c’est bien normal.
Dans mon métier, je suis confrontée à des gens dans l’incertitude ou qui souffrent. Mon rôle est de leur apporter une perspective de ce qu’ils traversent grâce à l’outil astrologique. Ma perception aiguë que j’ai conservé de l’épisode de 1978 m’aide dans l’analyse astrologique, à la vue des thèmes il y a cette réceptivité toujours présente.
J’aime diversifier mes activités astrologiques en écrivant aussi bien dans un style grand public pour toucher un public profane, ou rédiger des articles plus pointus destinés à un lectorat initié.
Toucher le grand public est important car c’est dans ce public que sont les astrologues de demain.
Lettre de mon amie et camarade de classe Nathalie Mougenot. Lycée Victor Hugo, Gaillac, notre section : sténo-dactylographie.
Si tout était à refaire, je le referai sans hésitation…le métier d’astrologue mal connu est un face à face au coeur de l’humain. Il touche le plan émotionnel, une consultation est toujours un voyage intérieur. La lecture astrologique offre un panorama permettant de situer la place de chacun dans son époque, son rôle au sein du plan collectif. L’astrologie change le regard que l’on porte sur les autres et ouvre à la tolérance.
Valérie Tenza Darmandy